Les INDIENS sont arrivés !!!
A l'entrée Ouest de Fontenay-Trésigny (le Far-West), vient de débarquer toute une lignée de "Pots Rouges".
Il y a quelques temps nous avions un bar le "Cheyenne", maintenant nous avons les peaux-rouges.
C'est certainement pour rester à "l’Apache" que la municipalité a réalisé cet embellissement qui a fait, déjà, poussé des "Cris" d'horreur à plusieurs administrés.
Dans quelle tête a pu germer cette idée saugrenue. C'était un projet "Cher à qui" (Cherokee).
Pour ma part, si j'avais encore quelques cheveux sur la tête, ils se seraient dressés telle une crête "d'Iroquois".
Je trouve ce décor déplorable, "qu'Inuit" au paysage Trésifontain.
"J'Hurons" que, dans quelques temps une jeep "Cherokee", ou tout autre véhicule à votre goût, ne manquera pas de les prendre pour cible.
Si, encore, ils étaient plus petits, "Arapahos" (à ras, pas hauts), cela pourrait passer, mais là, ils sont trop "Crow" (gros).
Même les "Blackfoots" (pieds-noirs) n'ont pas vu les mêmes en Algérie.
En Normandie non plus sur les plages du débarquement, dont celle "d'Omaha", on a vu de telles choses.
Le tout, bien sur avec nos "Sioux" !!!
Peut-être, finalement, que cela va nous attirer des touristes, avec le restant des autres tribus, Comanches, Chippewas, Algonquins, Séminoles, Navajos, Attikamek, Delaware, Innus, Mojaves, Pueblos, que je n'ai pu inviter dans mon texte...
Il y a quelques années, lors de la restructuration de cette partie de la rue Bertaux, je m'étais insurgé contre cette réalisation imbécile qui consistait à laisser un espace vide inutile au milieu de la chaussée, au lieu de faire des places de stationnement (alternées si possible, pour limiter la vitesse). Le résultat ne s'est pas fait attendre avec un stationnement régulier sur les trottoirs.
Aujourd'hui, pour combler cette espace, on implante de grands pots rouges (qui n'ont rien à voir avec le paysage de la Commune).
Il est logique, effectivement, de compléter une réalisation imbécile par une autre réalisation du même genre (Ensemble poursuivons...).
Bien cordialement.
Gilles PICOLET
